Les habitations belges sont de véritables « passoires thermiques ». Elles enregistrent par mètre carré de surface habitable les plus fortes pertes d’énergie d’Europe. Et si en hiver, la chaleur s’échappe continuellement de l’habitat refroidissant ainsi la maison, en été elle y pénètre tant et plus, la surchauffant.
Dans ces conditions, chauffer ou refroidir une maison n’est rien d’autre qu’une adaptation à des imperfections de construction.
Ces imperfections portent notamment sur l’isolation des parois et sur les flux d’air c.-à-d. la ventilation et les infiltrations d’air.